Les marchés financiers auront tangué tout au
long du mois de février sur le rythme des
négociations, coups de menton des principaux
dirigeants ukrainiens, russes, français ou
américains et finalement du début de l’offensive
russe. L’intervention russe et les menaces de
sanctions sur un pays exportateur de gaz et
pétrole comme la Russie renforcent la hausse
des produits énergétiques. Et c’est
naturellement que les taux d’intérêts
poursuivent leur progression et intensifient les
effets financiers. Les actions sont les principales
victimes avec des marchés américains et
européens. Seuls le Brésil et dans une moindre
mesure la Chine résistent à cette bourrasque. pdf