Après un premier semestre totalement sous
influence de l’inflation, le balancier semble se
réorienter vers la crainte de récession. C’est en
tout cas le discours des banques centrales et
l’interprétation des marchés financiers. C’est un
soulagement pour des actifs comme les
obligations et l’immobilier qui bénéficient d’une
détente des taux d’intérêts. Les performances
mensuelles de ces actifs approchent les 3% mais
restent malheureusement largement négatives
sur l’année. pdf